Mieux qu'un long discours ... Evinerude est reconnu pour ses travaux en matière d'analyse qualité de l'air, en témoignent ses quelques reportages réalisés notamment dans le cadre de trophées soutien aux actions innovantes:
Soutien INNOV'R 2éme Prix Trophées Trophée CCI NI
Région Rhône-Alpes 2013 CA d'Or (Cat. QSE) 2007 (Cat. QSE) 2007
Méthodes économiques et fiables couramment utilisées par les agences de surveillance de la qualité de l'air. Recommandées par les DREAL dans le cadre des plans de surveillance de la qualité de l'air, elles ont l'avantage d'utiliser des espèces présentes sur le site donc pas d'investissement matériel, et de permettre un suivi dans le temps très simple et peu couteux avec des prélèvements tous les deux ou trois ans. Nous réalisons l'analyse et la modélisation de la qualité de l'air par bioindication: du choix des sites de prélèvement au choix du bio-indicateur à utiliser jusqu'aux prélèvements et analyses laboratoire en passant par une cartographie et un suivi cartographique des résultats.
Vos Objectifs
1) Evaluer la qualité de l’air sur votre site et en périphérie.
2) Déterminer les rejets en COV, HAP, dioxines-furanes, métaux lourds, ozone etc ... autour de vos installations.
Les avantages de la bioindication
- Etude à partir de cellules vivantes présentes naturellement sur le site : excellente représentativité des réactions du monde vivant.
- Pas de matériel onéreux à emmener sur le terrain : analyse à coûts réduits.
- Des techniques très fiables recommandées par les DREAL.
Publics concernés
Communes, Communauté de communes ou d’agglomération, Syndicats mixtes d'usine de traitement des ordures ménagères, Agence de surveillance de la qualité de l’air. Tous les établissements privés ou publics soumis à la réglementation en matière d’émissions aériennes polluantes.
Méthodologies
Beaucoup d’organismes sont de très bons bio-indicateurs : tabac, mousses, lichens : le choix du bio-indicateur est très important.
Exemple avec le lichen (association d’un champignon et d’une algue) : Il se nourrit des éléments que lui apporte l'atmosphère, récupérant au passage des éléments toxiques. Cela fait de lui une sentinelle pour la qualité de l’air : il est un des premiers êtres vivants à être confronté aux problèmes de pollution atmosphérique.
3 grands types de protocoles selon la précision et le but final de l’étude...
La Bio-estimation lichénique pour un suivi à long terme de la qualité de l’air : (suivi tous les 2 à 5 ans)
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La Bio-accumulation pour une mesure immédiate de polluants (Suivis annuels ou bisannuels des taux en molécules polluantes) Exemple de protocole sur le dosage par les lichens, le protocole est identique pour n'importe quel polluant :
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L'analyse des dépositions élémentaires - suivi des retombées en particules fines Etude des retombées particulaires sur sun site : analyser, différencier les particules microspcopiques dans leur origine (géogénique ou industrielle), dans leur composition (chimique), dans leur origine (détection d'une signature permettant d'établir l'émetteur).Valeur ajoutée à cette méthode totalement innovante : détermination des sources émissives et des impacts sur le vivant (tailles et composition des particules). Exemple de protocole :
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